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Le manque d’une dimension spirituelle et de la prière spirituelle est l’une des raisons de ralentissement du dialogue théologique et oecuménique » – P. Iwan Dacko

2013-11-02 10:15

Son point de vue avec le public ont partagé : P. Iwan Dacko, Président de l’Institut d’études oecuméniques de l’Université catholique d’Ukraine ; Mgr Venedykt Aleksiychuk, évêque auxiliaire di diocèse de Lviv (Eglise grecque-catholique ukrainienne) ; Antoine Arjakovsky, fondateur de l’Institut d’études oecuméniques de l’Université catholique d’Ukraine, co-directeur du département « Société. Liberté. Paix » Collège des Bernardins, France ; Igor Derzhko, docteur en philosophie, chef du département de philosophie et d’économie à l’Université nationale de médecine ès Danylo Halytskyy ; Hubert de Gabory, Secrétaire générale de l l'Œuvre d'Orient ; Helen Zorgdragger, professeur de théologie systématique à l’Université de théologie protestante d’Amsterdame et le membre du departement de mission de l’Eglise protestante aux Pays-Bas ; Oleksandr Dobroër, directeur d’association « Institut européen des communications sociales ».

Révérend Dr. Iwan Dacko dans son discours a approfondit l’histoire de la formation et du developpement du mouvement oecuménique dans le monde entier, en le liant à la situation des relations interconfessionnelles en Ukraine. « Nous devons comprendre ce que nous unit, plus ce que nous desunit. Cependant nous ne cherchons ce qui est de Dieu, mais ce qui est humain. Pas la grâce du Seigneur, mais plutôt le pouvour et l’argent, ce qui n’est pas conforme à l’enseignement de l’Evangile. Le manque d’une dimension spirituelle et de la prière spirituelle est l’une des raisons de ralentissement du dialogue théologique et oecuménique » - a declaré P. Iwan Dacko.

Antoine Arjakovsky dans son rapport a mis en évidence les difficulté di dialogue interécclesial, car il y a trop peu de ceux qui croient en la puissance de la vérité, en réalité de l’unité de Dieu et de l’Eglise du Christ. Ensuite, les Eglises travaillent insuffisament avec les structures universitaires indépendantes. Ces difficultés, quelles qu’elles soient, sont nettement inférieures à ceux avec lesquelles l’Eglise doit faire face à l’avenir, sous l’influence puissante de la sécularisation, fragmentation de la société et les nouvelles ambitions idéologiques des Etats.